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488 établissements
(+2613 élèves)
120 209 Français
167 478 nationaux
38 714 tiers
et parmi eux, 108 239 élèves en Afrique, 108 000 en Asie,
68 017 en Europe.
Bac 2013 : 14 065 candidats dont 62% d’étrangers, 95,4% de réussite, très nombreuses mentions !
Extension de la dématérialisation des copies (12 nvx pays en Afrique -Mali, Niger, Burkina- Tchad et Amérique latine) sont donc inclus dans le périmètre Asie, pacifique, Amérique nord.
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RAPPEL :
Commission Nationale des Bourses scolaires
les 18 et 19 décembreLa FAPEE vous y représente.
LE LOGICIEL 8SENS
développé par la FAPEE et la société 8SENS
pour les établissements conventionnés du réseau
en remplacement de GFC est opérationnel et disponible.
Plusieurs établissements l’ont déjà acheté, une quinzaine d’autres sont interéssés.
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Points de vigilance dans le réseau
Bangui, Centrafrique :
181 élèves, Enseignement avec le support CNED. Partenariat pédagogique avec le lycée D. Savio de Douala via internet.
Déconventionnement du lycée franco-mexicain
Il a été voté par son conseil d’administration, sachant que la convention (signée en 1990 et réactualisée en 2002) est dénonçable avec 6 mois de préavis. Une demande d’accord de partenariat a été adressée le 24 novembre.
Les raisons du déconventionnement sont liées à des considérations financières et des difficultés en matière de ressources humaines.L’AEFE, le MAE, l’ambassade estiment que le maintien de la convention est la meilleure solution et entendent encore en discuter avec le Conseil d’Administration.
Paramètres :
– la situation des personnels AEFE : 16 expatriés et 84 résidents.
– Responsabilité vis à vis des familles (Ecolages + bourses)
Le lycée compte 3600 élèves et est considéré comme l’un des fleurons du réseau.
François Denis a rappelé l’attachement de la FAPEE au conventionnement et craint un emballement en Amérique Latine et ailleurs. Il demande que des assurances de coûts et maintien de la qualité soient donnés aux parents. L’APE du lycée franco-mexicain est membre de la FAPEE.
Portugal : imposition des résidents par le fisc local.
Damas : la convention a été suspendue en décembre 2011. L’AEFE continue à soutenir l’établissement (bourses, actions formation continue et examens). Un obus est tombé sur le lycée où se trouvaient les élèves dimanche 1er décembre sans faire de victimes.
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AEFE: Conseil d’administration du 29 novembre 2013
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◊ Baisse « contenue » de la subvention de l’Etat
à l’AEFE
Le ministère du Budget a rappelé les contraintes fortes qui pesaient sur le budget de l’Etat et le coût de la dette souveraine. L’AEFE recevra 411 M€ contre 416 M€ en 2013. Le budget des bourses passe de 104 M€ à 110 M € (après réserve légale accrue de 6 à 7%.) L’AEFE a l’autorisation de recruter hors plafond + 20 résidents et + 80 recrutés locaux. Mais le coût en est intégralement supporté par les établissements et ses conséquences, comme la baisse de la subvention impacteront immanquablement les écolages.
L’AEFE devra encore davantage compter en 2014 sur les remontées des établissements : 228 M€ inscrits au budget (+8%) dont 174 M€ de participation à la rémunération des personnels résidents et 43 M€ de contribution sur les frais de scolarité des établissements en gestion directe et conventionnés. Cette contribution est aujourd’hui entièrement consommée par le poids des pensions civiles des personnels résidents et expatriés, alors qu’elle était prévue d’alimenter pour moitié les subventions immobilières. Nous avons écrit à ce titre au Premier ministre pour demander en conséquence une aide de l’Etat sur l’immobilier d’autant plus nécessaire que le transfert à l’AEFE des biens de l’Etat à l’étranger (EGD) est aujourd’hui en cours de finalisation.
La FAPEE a également bataillé pour que le conseil d’administration soit préalablement informé de toute évolution du taux de cette contribution dans les EGD et les conventionnés (où elle doit résulter d’un commun accord avec les comités de gestion.)
Le Plan d’Action de la Ministre Hélène Conway, qui servira de base au Plan d’Orientation Stratégique vise une évolution du réseau étroitement encadrée au plan budgétaire: Réexamen de la cartographie des établissements, redéploiement des moyens, développement de partenariats autofinancés, recours accru aux offres complémentaires de scolarisation (FLAM, CNED, enseignement bilingue francophone)
Un pilotage stratégique du réseau relevant du MAE ( concertation interministérielle au niveau central et des ambassades au niveau local. Il faut abosolument que les parents soient étroitement associés en amont de chacune de ces décisions.
Philippe Cordery, député, et Claudine Lepage, sénatrice, en charge d’une mission pour contenir les augmentations des frais de scolarité. La FAPEE sera partie prenante dans le processus de réflexion.
◊ PRISE EN COMPTE DU HANDICAP DANS LE RÉSEAU AEFE
Au point de situation de juin 2013, 161 réponses ont été retournées par les établissements du réseau. Elles recensaient 1997 élèves porteurs de handicap (Il y en avait 1640 en mai 2012).
Les troubles spécifiques des apprentissages sont de très loin les plus nombreux (dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyscalculie…)
De très nombreuses équipes mettent en oeuvre certaines procédures impulsées par la loi du 11 février 2005 : équipes éducatives, réunions avec les professionnels de soin, rédaction d’un projet formalisé impliquant les enseignants et l’encadrement, des établissements proposent des conférences thématiques sur les problématiques du handicap et renforcent les coopérations locales, Une centaine d’auxiliaires de vie scolaire (AVS) apportent leur concours auprès des élèves.
Les actions menées
L’Agence a mis en place un document PPS Agence (projet personnalisé de scolarisation) depuis la rentrée 2012 dans tous les établissements du réseau permettant une harmonisation des pratiques, un meilleur suivi de l’élève en cas de changement d’établissement dans le réseau et une possibilité d’utilisation de ce document par une MDPH.
Elle a recruté à la rentrée 2012 une adjointe au chef du service pédagogique, Mme GRAFTO, spécialiste du handicap qui anime des stages de formation sur l’accueil des élèves à « besoins éducatifs particuliers » des Inspecteurs de l’Education Nationale du Premier degré ASH (Adaptation scolaire et Scolarisation des élèves Handicapés).
Il faut toutefois rappeler que l’application de la loi du 11 février 2005 se heurte à des difficultés récurrentes, dans le contexte de l’étranger par l’absence de services de soin adaptés.
Pour l’avenir, l’Agence poursuit la formation des enseignants à travers les stages spécifiques portant sur le handicap et doit rédiger un vade-mecum à destination des équipes d’établissement et des familles.
Philippe Cordery et la FAPEE ont noté que la bonne volonté n’existe pas toujours dans certains établissements, où on pratique une discrimination à l’entrée.
Les AVS et les matériels sont à la charge des familles, sans mentionner les salles ne permettant pas l’accueil d’une personne supplémentaire.
Il faut inciter les postes diplomatiques à passer des partenariats avec les Etats d’accueil pour bénéficier des politiques publiques et voir les capacités de mutualisation au niveau du réseau des personnels soignants : orthophonistes et psychanalystes.
◊ Questions immobilières
Extension du lycée Louis Massignon à Abou Dhabi (1721 élèves) Le ministère de l’Education Emirien (ADEC) met à disposition un terrain de 5.500 m2 jouxtant le lycée, occupé jusqu’à une période récente par l’école japonaise. Le bail est de 30 ans pour un loyer de 1.200 euros par an.
Renouvellement du bail de l’Ecole André Malraux d’Ealing avec le trust du FETP
pour une durée de 25 ans et un montant annuel minoré à 30.000 Livres.
Vientiane : convention d’occupation temporaire du terrain de 14.057 m2 dans le
quartier d’Hadsaikhao au profit de l’APE pour une durée de 15 ans moyennant une
redevance domaniale de 20.000 euros par an. On note que les autorités laotiennes sont peu allantes sur ce dossier.
Extension du lycée de La Haye : (dont absence de demi pension) par l’achat d’un terrain de 775 m2 située Kerlaan 117 pour un montant maximal de 595.000 Euros. La FAPEE a rappelé que cet établissement avait été cédé à l’AEFE par la fondation propriétaire et insisté pour que cette extension se fasse à coût nul pour les parents.
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◊ Convention entre l’AEFE et l’OSUI 2013-2023 en vue de la mutualisation de l’enseignement français à Agadir
Cette convention permet de rationaliser les moyens et d’améliorer la qualité de l’enseignement (+ d’options), et des locaux.
A la suite de cette convention sera pris le décret de fermeture de l’EGD Gauguin.Vote
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Dons: Action des parents au profit des établissements
Don de 130.000 € de la Fondation de soutien au lycée Jean Monnet au profit du lycée français Bruxelles.
Don de l’association des parents d’élèves (APL) et du trust « Friends of the lycée » d’un montant de 93.220 € au profit du lycée Charles de Gaulle de Londres.
Don de la société Lycée Français SRO d’un montant évalué à 93.000 € au profit du Lycée français de Prague.
François Denis a tenu à rendre hommage aux associations de parents d’élèves qui par nombre d’actions lèvent des fonds au bénéfice des élèves et des établissements.
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INFORMATIONS: Résultats de l’enquête PISA 2013 : les meilleurs toujours aussi bons, c’est le reste de la classe qui ne suit pas…
La mauvaise note attribuée par l’OCDE à la France, dans le cadre de son Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) révèle que son école, prétendument pour tous, est d’abord faite pour une élite, mais ne fait pas réussir les enfants les moins privilégiés. Les statisticiens de l’OCDE situent la France à la 25e place sur 65 participants. Si l’on ne tenait compte que des performances des élèves issus de milieux sociaux favorisés, la France se situerait dans le premier quart du classement (13e).
Orientation : les parents auront le « dernier mot » pour le passage en 2nde
La mesure, prévue dans la loi d’orientation sur l’école promulguée en juillet sera expérimentée cette année dans 117 collèges de 12 académies. L’objectif est de favoriser les orientations « choisies » plutôt que « subies » et identifiées comme une cause du décrochage scolaire. Il vise aussi à renforcer la coopération entre l’école et les familles.
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